Deux cents et quelques commencements ... de Marc CHOLODENKO
Mais la nuit était arrivée comme le personnage qui entre juste pour annoncer "trop tard"
c'est le commencement jouissivement assommant de ce livre fait de commencements glissant imperceptiblement de l'un au suivant, comme en semant, comme en s'ensemençant. Sans
ces introductions agaçantes dont nous gratifient les journalistes, comme dans la vie qui nous fait passer d'un état à l'autre sans transition.
Et l'auteur de mettre le lecteur dans tous ses états et dans tous les sens.
L'avidité qu'on éprouve pour ce qui va suivre dans ce bal tourbillonnant des débuts et le désir d'épier chaque surgissement font presque oublier la virtuosité, la jubilation, la puissance créatrice et la grande culture de Marc Cholodenko.
c'est le commencement jouissivement assommant de ce livre fait de commencements glissant imperceptiblement de l'un au suivant, comme en semant, comme en s'ensemençant. Sans
ces introductions agaçantes dont nous gratifient les journalistes, comme dans la vie qui nous fait passer d'un état à l'autre sans transition.
Et l'auteur de mettre le lecteur dans tous ses états et dans tous les sens.
L'avidité qu'on éprouve pour ce qui va suivre dans ce bal tourbillonnant des débuts et le désir d'épier chaque surgissement font presque oublier la virtuosité, la jubilation, la puissance créatrice et la grande culture de Marc Cholodenko.