Générale ta disparition par Loïc Robin
Générale ta disparition. C'est la langue et son mutisme. Car ce qu'aucun sait, c'est aussi qu'il y a de la langue, ce qui veut dire brûler sur l'instant. C'est tout ce qu'un nom fait à la langue. Tu n'es pas, sans ce qui est ton pronom, à rendre personnel. Ce qui arrive à ton nom, en ton nom. A rendre personnel. Ce qui veut dire te rendre au propre de ton nom. A ton mutisme. Car ce qu'il faut c'est te nommer dans les choses. Pauvre arrive ? Ce qui est en avant, ce qui arrive, tu l'oublies. Tu l'oublies dans le non fait à la langue. Personne, tu as décidé : parle, fait parler, se fait parler. Mieux vaut se faire à ce qui arrive, va et vient dans les rêves de ton nom. Propre peut le dire. Personne sur l'instant. Car tout brûle.
Ce qu'un nom fait à la langue : une personne, un nom. Bien sûr, tu as des mains. Tu veux la saisir en ton nom. Tu ne peux pas. C'est-à-dire : parler, faire parler, être en ton nom lui-même. Qu'en ton nom communiquent et s'attachent travail, transports, grammaire, significations. Ton nom ne peut le dire. Tu veux saisir. Donner des mains à la langue. Apprendre aussi grâce au nom des autres. Mais l'instant. Tout brûle : toi, de te rendre en somme à personne, ni à toi, ni aux autres.
La langue s'attache à toi avec ce qui arrive : courses, trajets, habitudes, horaires et retours. Personne, tes passions. Ce que tu as. Voir ne peut dire. Car ce que tu es toi-même est une manière d'arriver. A toi, une heure, une, qui arrive. C'est-à-dire une langue qui marche et qui brûle : toi, ce qui arrive. Toi, ton nom lui-même, ta vie que tu quittes. Quelque chose arrive, c'est-à-dire là, une heure et un nom. Et l'oubli. Car tu oublies dans le va-et-vient de ton nom. Tu ne peux pas t'y rendre. Pas même te rendre au nom des autres. Tu es dans les transports, dans les «ne pas» d'un jour, d'une ville.
De te rendre tu as décidé en partie. De dire aussi. Car sans savoir tu as mains. Tu veux saisir : procrastination perpétuelle des grammaires, mutisme. C'est le nom, le pronom, du travail et des villes : courses, les choses. Pauvre langue diras-tu. Tu ajoutes à tes mains. Tu veux la langue toujours rêvée de tes pas. Mais tu oublies. Autre arrive ? Ce trajet, habitudes, horaires et retours. Comme avant. Ainsi ajouter de la langue aux transports (grammaire, significations, styles), à ce qui vient. Etre dans la vie grâce au nom des autres. Il faut s'y faire.
Tu arrives. Courses, trajets, habitudes, horaires et retours. Tu oublies. Tu oublies ton nom dans les transports (grammaire, significations, styles), tu oublies d'être dans ton nom lui-même, dans ta langue. Cela veut dire marcher. D'ailleurs tu n'es pas dans l'instant.
Alors parle, fais parler, parle, toi avec ton nom, de ta disparition. C'est ta seule langue, ton seul nom. Tu n'en as qu'un, et avec lui tu es brûlé sur l'instant. Fais un nom à ton nom, une langue à ta disparition. Elle fait partie d'un jour, d'une ville. Tu quittes. Cela arrive. Mais quelque rêve s'attache et vient, dans la langue, c'est-à-dire parle en ton nom, fait parler. La grammaire en excès. Tu l'entends. Tu vis. Tu rêves de t'y rendre, de te rendre en somme à l'excès. Et tu as à tes besoins, tes envies. Ainsi la langue communique, c'est-à-dire : toi avec ton nom, tu fais un rêve de substance. Cela t'arrive quelque part dans une heure, un jour, une ville. Mais tu brûles sur l'instant.
Il y a aussi marcher et aussi partir. Tu as recommencé mille fois. Tes besoins, ta langue, ta grammaire. Accordées au devant de ton nom lui-même, tu vis grâce à tes mains. Tu vis de tes pas et du pas des autres. Car tu vis pour marcher et aussi t'abandonner. Au devant de ton nom, ce qui arrive, avec toi et ta manière d'oublier.
Ce rêve travaille à lui-même. C'est ta manière de te nommer, ton mutisme. Car ce que la langue communique, c'est-à-dire : parle, transporte, toi seul peux le dire. C'est ce qui arrive. A rendre personnel. Donc toi. Car personne ne peut dire ta disparition. C'est ta ville, la ville de personne. Te saisir donc, des grammaires accordées à ta disparition. Ce sont les trajets, les habitudes, les horaires, toujours à rendre personnels. Qui arrivent et peuvent t'arriver. A des lieux de La langue donc, dire le propre de ton nom. Quotidien du travail et des villes : une heure, un jour. Tu as tes désirs.
Ce qu'un nom fait à la langue : une personne, un nom. Bien sûr, tu as des mains. Tu veux la saisir en ton nom. Tu ne peux pas. C'est-à-dire : parler, faire parler, être en ton nom lui-même. Qu'en ton nom communiquent et s'attachent travail, transports, grammaire, significations. Ton nom ne peut le dire. Tu veux saisir. Donner des mains à la langue. Apprendre aussi grâce au nom des autres. Mais l'instant. Tout brûle : toi, de te rendre en somme à personne, ni à toi, ni aux autres.
La langue s'attache à toi avec ce qui arrive : courses, trajets, habitudes, horaires et retours. Personne, tes passions. Ce que tu as. Voir ne peut dire. Car ce que tu es toi-même est une manière d'arriver. A toi, une heure, une, qui arrive. C'est-à-dire une langue qui marche et qui brûle : toi, ce qui arrive. Toi, ton nom lui-même, ta vie que tu quittes. Quelque chose arrive, c'est-à-dire là, une heure et un nom. Et l'oubli. Car tu oublies dans le va-et-vient de ton nom. Tu ne peux pas t'y rendre. Pas même te rendre au nom des autres. Tu es dans les transports, dans les «ne pas» d'un jour, d'une ville.
De te rendre tu as décidé en partie. De dire aussi. Car sans savoir tu as mains. Tu veux saisir : procrastination perpétuelle des grammaires, mutisme. C'est le nom, le pronom, du travail et des villes : courses, les choses. Pauvre langue diras-tu. Tu ajoutes à tes mains. Tu veux la langue toujours rêvée de tes pas. Mais tu oublies. Autre arrive ? Ce trajet, habitudes, horaires et retours. Comme avant. Ainsi ajouter de la langue aux transports (grammaire, significations, styles), à ce qui vient. Etre dans la vie grâce au nom des autres. Il faut s'y faire.
Tu arrives. Courses, trajets, habitudes, horaires et retours. Tu oublies. Tu oublies ton nom dans les transports (grammaire, significations, styles), tu oublies d'être dans ton nom lui-même, dans ta langue. Cela veut dire marcher. D'ailleurs tu n'es pas dans l'instant.
Alors parle, fais parler, parle, toi avec ton nom, de ta disparition. C'est ta seule langue, ton seul nom. Tu n'en as qu'un, et avec lui tu es brûlé sur l'instant. Fais un nom à ton nom, une langue à ta disparition. Elle fait partie d'un jour, d'une ville. Tu quittes. Cela arrive. Mais quelque rêve s'attache et vient, dans la langue, c'est-à-dire parle en ton nom, fait parler. La grammaire en excès. Tu l'entends. Tu vis. Tu rêves de t'y rendre, de te rendre en somme à l'excès. Et tu as à tes besoins, tes envies. Ainsi la langue communique, c'est-à-dire : toi avec ton nom, tu fais un rêve de substance. Cela t'arrive quelque part dans une heure, un jour, une ville. Mais tu brûles sur l'instant.
Il y a aussi marcher et aussi partir. Tu as recommencé mille fois. Tes besoins, ta langue, ta grammaire. Accordées au devant de ton nom lui-même, tu vis grâce à tes mains. Tu vis de tes pas et du pas des autres. Car tu vis pour marcher et aussi t'abandonner. Au devant de ton nom, ce qui arrive, avec toi et ta manière d'oublier.
Ce rêve travaille à lui-même. C'est ta manière de te nommer, ton mutisme. Car ce que la langue communique, c'est-à-dire : parle, transporte, toi seul peux le dire. C'est ce qui arrive. A rendre personnel. Donc toi. Car personne ne peut dire ta disparition. C'est ta ville, la ville de personne. Te saisir donc, des grammaires accordées à ta disparition. Ce sont les trajets, les habitudes, les horaires, toujours à rendre personnels. Qui arrivent et peuvent t'arriver. A des lieux de La langue donc, dire le propre de ton nom. Quotidien du travail et des villes : une heure, un jour. Tu as tes désirs.