Dans sur vers et alentour par Mathieu Baret
« Etre », c'est « être quelque part », c'est à dire dans, une découpe sur le fond de tout, dans un extrait, une portion. Il faut situer cela, « être où? », pour fixer la découpe, et ici nul lieu n'est précisé, être « n'importe où », emporte encore le lieu. On ne sort, de près ou de loin, jamais de cette quête pour une localisation. Une carte découpe ainsi ce qui est, et l'idée d'une carte une ontologie, idée de la situation, du lieu. La carte n'est donc pas un territoire réduit sur plan, c'est l'idée de tout départ, de toute découpe, l'idée de l'idée qui opère le langage, peut-être une notion ultime : selon l'être, où sur la carte. Carte comme le langage qui double le monde de l'idée d'un repère, et monde et langage se distinguent comme de la carte le territoire, en fonction d'une abstraction nécessaire.
La tête est dans le monde, et le monde dedans la tête. Il y a monde et monde, dedans la tête, et la tête dans le monde, parcelle totale qui monde, tautologie de la carte. L'habit de bal de la tête, cosmologie de monde et dedans, totalise l'ensemble des idées sur le monde. Comment distinguer monde et monde, comme la carte et le territoire? Les têtes alentour dans le monde, lumières sous la lumière, sont des mondes aussi. Infinis qu'il est juste de reconnaître, habits ou tenue de soirée pour le bal mondain dans le monde, pour tout bal d'ailleurs, puisque sous le soleil, sous la lampe de tout dans ce monde, dansent des têtes, sur l'axe des corps, dans de l'air. Embrassant la fiancée d'air des bras, les corps, enveloppes de mondes, dansent en mondant. Le prix d'une danse des mondes dans le monde, mondanité. Dans les mondes : chaque tête sa vision plus ou moins claire de l'enveloppe mondaine qui contient les mondes, univers en petit des têtes qui sourient dans l'espace en dansant. La densité de chaque opère la densité générale, et la hauteur des reflets sur la partition des profils. Un écart de clefs assurant la partition générale, incline le concert sur la pente du soir, chacun a sa place impeccable, généralité tirée pour le monde, et le point de vue du chef en chacun dans le concert privé en dedans, un principe de relativité, mais seulement tant que l'on perçoit les têtes dans le monde, et non chaque monde une tête dans la tête du monde. Concertante la danse des bras qui assure l'indication du moment de la partition en cours, et des paroles à chacun. Le carton coûte une clôture de la carte à la seule salle concertante. Mieux que des modes pour forcer les jointures à ne pas se chevaucher dans le monde, des strates sur l'idée générale d'une carte, abstractions différentes selon « chaque carte un monde » ? Pas même, puisque les relations y assument des continuités. Chaque monde sur une seule carte, sur l'idée du monde qui est une carte en chacun et un réel général dans la réalité, en son creux, dans ses interstices où trouve à loger chacun. Nature de monde est un principe de séparabilité, disjoncteur qui évite le mal de tête, qui peut toujours venir de l'interdiction de penser la double inclusion de la tête dans le monde et du monde dedans, et qui force l'idée de Tête éventuellement, déité héritée de l'idée d'enfance d'un Dieu, erreur reconduite dans le monde. Une seule réalité, et mondes dedans, réalité sac général dans quoi il n'est pas question de distinguer des individus non reliés aux collecteurs généraux des sacs. Généralité de tuyaux existe, et non monde général d'une tête. L'idée d'un serre-tête, séparant les tuyaux dans la tête, et la lumière, nie son immanente séparation. Séparer la tête de la réalité, et cette séparation celle du destin de tube. Les tubes reliés aux collecteurs, les têtes mondes reliées au monde par affinité de substance. Tube n'est rien de la tête, rien du monde, support éventuel - la tête flotte dans l'air entre les paroles, elle n'est que langage, et tubes n'ont pas d'oreille, mais bruitent à l'occasion. Le bruit des tubes, souvenir peut-être du fond de l'explosion ancienne qui assura la séparation des têtes de leur destin, Big Bang et invention du langage. Abstraction est la tête, et le monde dedans, tiré à part l'assemblage tube de carbone ; et abstraction n'a pas d'enveloppe, vole librement, se joue de l'air, voyage sans passer les ports du tube, peut-être. A condition que ce dernier ne soit pas le douanier, n'intervienne pas dans du monde. On n'écoute pas les tuyaux dans le concert. Destin de réparateur, oreilles sales de psychiatre peut-être écoutent, mais en règle absolue du monde l'on ne passe pas les appels de tubes. S'adressant directement à son destin de lumière, visant la tête, illumine la tête le monde. Tubes un destin de trou noir, ne rejetant que la force comme magnétique pourtant à des oreilles cassées, d'une récollection de matière insensée. Mais est-ce que tube absorbe la lumière? L'énergie mondaine éloignant les tubes des têtes, se détache un langage fait de tautologies. Cartes et territoires se disent tautologiquement les mêmes. L'ensemble du concert est une tautologie qu'il revient à la tête d'entendre, de capter, pour en estimer les points de retenue, les oreilles à l'écoute totale, de proche en lointain, de ce qui se dit du monde sur lui-même. Une haute énergie mondaine interdirait bruits et tuyaux de passer les seuils perceptibles, si des malades n'étaient pas du monde aussi. Retenues sur le fleuve de temps où se reflète la lumière des paroles, un bruissement permet la captation de ce qui empêche la tautologie de raisonner comme telle, du reste qui s'enterre dans la boue des sacs qui pèsent et émondent la tête dans une réalisation locale. Local le lieu de la boue qui freine l'arrivée dans, comme une apesanteur, l'absence de lieu où se dit la tautologie. De proche en proche une onde se marie à l'air et publie la lumière dans l'assemblée, la distribue au point d'incandescence que signifient sourires, éclats de rire et bonne humeur, légèreté généralisée. La lumière, anti-matière de tubes, se répand de tête en tête et une abstraction première apparaît à l'évidence de chacun, le lieu de la mondanité se délocalisant à une carte mondaine, que l'ensemble des noms cités, lieux et personnes, forment le lieu, et ce décollage premier une bulle dans laquelle se loge une assemblée, sans gravité, et navigue de plaisirs en plaisirs. Plaisir ici le nom de la joie spéciale d'être présent dans la lumière, proposition de la tautologie générale qui résonne, de cercle en cercle jusqu'au confins de chaque phrases, dans l'air spécial ainsi habité. Au dedans comme sur un plateau de nulle part, des lumières plus précises se détachent et dansent dans la boucle de chacun, et des bulles parcourent la salle comme des ondes et vont éclater aux quatre coins, reviennent chargées d'un nouveau sens à son tour qui etc. Dans ce bal de fiancées d'air et de regards, répercutant des marginalia de phrases vers leur destin redondant d'illumination de l'ensemble, aucune volonté particulière ne prend son empire, aucune singularité même ne tire son épingle de la pelote formant le jeu en entier, et chacun se livre entier au courant de la bulle, ensemble si l'on veut détaché de sa matérialité, et langage tout entier. Tournent les têtes dans le clair air de chambre qui retentit, et se profilent les ombres portées d'absents, qui passent comme un paysage depuis la vitre que chaque regard figure. Là, le visage est seul, comme détaché du corps, abstrait de la fenêtre qui l'encadre et décore, dans sa singularité de destin voyageur, vaisseau principal de l'être au monde. Au point de l'abstraction saisie par une tête chacun la sienne, la retenue de soi est infinie, tout ouvert sur le possible et un jeu de masques, sur la lumière desquels se reflètent des identités multiples, d'emprunt ou anciennes, qui soudain ne sont plus celles des cartes et de ceux qui les portent, qui assumé se déploie sans entrave. La délocalisation s'achève sur un nulle part qui est dans le temps compté du bal. Nulle part précisément une assemblée de têtes aérées de mondanité s'échange le fil ténu de la tautologie qui les subsume. La somme des masques d'abstraction est le lieu, que nul ne revendique, et l'air autour de se changer en kaléidoscope, jeu de palais des glaces où les sourires sont reflets de tous les autres. Il est inutile en effet par la suite de songer à ce monde faux qu'évoquent les piètres danseurs qui se soucient d'eux-mêmes plus que de la chorégraphie générale, qui ne comprennent pas le sens public qui s'illustre dans les regard ; la vérité d'un jeu de masque est dans les expressions qu'on lui fait prendre, non dans la certitude d'y voir un accessoire. Non plus que jeu futile de superficialité, c'est à chaque reflet que se démultiplient les vérités de ce qu'il évoque, et sans drame, dans le plein consentement de tous. L'artiste comme propergol, les discours, les kirs et buffets, décor de l'apesanteur. Chacun pourra refléter dessus son habit à ces réalités, les tenir pour assurées, les palper comme dans sa poche l'invitation, et les explications d'usage, pour l'honneur de tout ceci, la tenue de concert, sourires et plaire, tout ceci est convenu, l'atmosphère en dépend ; s'étonnent chaque fois d'y être présent, de rencontrer de nouveaux visages, d'engager des conversations, et de s'habituer au fait, sans conteste, que le monde brille dans l'air comme lumineux et insincère, les col empesé et les joues poudrées, les mines dans le concert de variétés. Sur les bottes de sept lieues cette utopie suspendue, le temps d'une danse louée de l'écart des poursuites, dans sur vers et alentour du monde glacé de reflet jaillissant d'ombres, marcher dans le clair air du soir, tendre l'attention vers ce qui vient, sans le rictus de rigueur, la langue armée du rouet bons mots que file une intention pacifiée, le souvenir prévenu des jours passés, d'autres identiques occasions de dire le bien qui vous anime, désarmée aussi la prévention usuelle, à part soi, et se tenir sous les lueurs qui ne prêtent qu'à s'embraser dans la bulle sonore retentissant le temps. Poésie, danse, théâtre, opéra, art et concerts, lieux de l'être par excellence, et les beaux vêtements de présent à facettes, se réunissent des sentiments qui se comptent avant de commencer, et s'attendent les humain impatients de se pacifier encore après les applaudissements. Airs noirs, bustiers et vestes, sourires clairs légèreté éclatée, tout un monde de chair qui oublie sa misère de terre pour se dire la courtoisie du plaisir d'être ici, et maintenant.
La tête est dans le monde, et le monde dedans la tête. Il y a monde et monde, dedans la tête, et la tête dans le monde, parcelle totale qui monde, tautologie de la carte. L'habit de bal de la tête, cosmologie de monde et dedans, totalise l'ensemble des idées sur le monde. Comment distinguer monde et monde, comme la carte et le territoire? Les têtes alentour dans le monde, lumières sous la lumière, sont des mondes aussi. Infinis qu'il est juste de reconnaître, habits ou tenue de soirée pour le bal mondain dans le monde, pour tout bal d'ailleurs, puisque sous le soleil, sous la lampe de tout dans ce monde, dansent des têtes, sur l'axe des corps, dans de l'air. Embrassant la fiancée d'air des bras, les corps, enveloppes de mondes, dansent en mondant. Le prix d'une danse des mondes dans le monde, mondanité. Dans les mondes : chaque tête sa vision plus ou moins claire de l'enveloppe mondaine qui contient les mondes, univers en petit des têtes qui sourient dans l'espace en dansant. La densité de chaque opère la densité générale, et la hauteur des reflets sur la partition des profils. Un écart de clefs assurant la partition générale, incline le concert sur la pente du soir, chacun a sa place impeccable, généralité tirée pour le monde, et le point de vue du chef en chacun dans le concert privé en dedans, un principe de relativité, mais seulement tant que l'on perçoit les têtes dans le monde, et non chaque monde une tête dans la tête du monde. Concertante la danse des bras qui assure l'indication du moment de la partition en cours, et des paroles à chacun. Le carton coûte une clôture de la carte à la seule salle concertante. Mieux que des modes pour forcer les jointures à ne pas se chevaucher dans le monde, des strates sur l'idée générale d'une carte, abstractions différentes selon « chaque carte un monde » ? Pas même, puisque les relations y assument des continuités. Chaque monde sur une seule carte, sur l'idée du monde qui est une carte en chacun et un réel général dans la réalité, en son creux, dans ses interstices où trouve à loger chacun. Nature de monde est un principe de séparabilité, disjoncteur qui évite le mal de tête, qui peut toujours venir de l'interdiction de penser la double inclusion de la tête dans le monde et du monde dedans, et qui force l'idée de Tête éventuellement, déité héritée de l'idée d'enfance d'un Dieu, erreur reconduite dans le monde. Une seule réalité, et mondes dedans, réalité sac général dans quoi il n'est pas question de distinguer des individus non reliés aux collecteurs généraux des sacs. Généralité de tuyaux existe, et non monde général d'une tête. L'idée d'un serre-tête, séparant les tuyaux dans la tête, et la lumière, nie son immanente séparation. Séparer la tête de la réalité, et cette séparation celle du destin de tube. Les tubes reliés aux collecteurs, les têtes mondes reliées au monde par affinité de substance. Tube n'est rien de la tête, rien du monde, support éventuel - la tête flotte dans l'air entre les paroles, elle n'est que langage, et tubes n'ont pas d'oreille, mais bruitent à l'occasion. Le bruit des tubes, souvenir peut-être du fond de l'explosion ancienne qui assura la séparation des têtes de leur destin, Big Bang et invention du langage. Abstraction est la tête, et le monde dedans, tiré à part l'assemblage tube de carbone ; et abstraction n'a pas d'enveloppe, vole librement, se joue de l'air, voyage sans passer les ports du tube, peut-être. A condition que ce dernier ne soit pas le douanier, n'intervienne pas dans du monde. On n'écoute pas les tuyaux dans le concert. Destin de réparateur, oreilles sales de psychiatre peut-être écoutent, mais en règle absolue du monde l'on ne passe pas les appels de tubes. S'adressant directement à son destin de lumière, visant la tête, illumine la tête le monde. Tubes un destin de trou noir, ne rejetant que la force comme magnétique pourtant à des oreilles cassées, d'une récollection de matière insensée. Mais est-ce que tube absorbe la lumière? L'énergie mondaine éloignant les tubes des têtes, se détache un langage fait de tautologies. Cartes et territoires se disent tautologiquement les mêmes. L'ensemble du concert est une tautologie qu'il revient à la tête d'entendre, de capter, pour en estimer les points de retenue, les oreilles à l'écoute totale, de proche en lointain, de ce qui se dit du monde sur lui-même. Une haute énergie mondaine interdirait bruits et tuyaux de passer les seuils perceptibles, si des malades n'étaient pas du monde aussi. Retenues sur le fleuve de temps où se reflète la lumière des paroles, un bruissement permet la captation de ce qui empêche la tautologie de raisonner comme telle, du reste qui s'enterre dans la boue des sacs qui pèsent et émondent la tête dans une réalisation locale. Local le lieu de la boue qui freine l'arrivée dans, comme une apesanteur, l'absence de lieu où se dit la tautologie. De proche en proche une onde se marie à l'air et publie la lumière dans l'assemblée, la distribue au point d'incandescence que signifient sourires, éclats de rire et bonne humeur, légèreté généralisée. La lumière, anti-matière de tubes, se répand de tête en tête et une abstraction première apparaît à l'évidence de chacun, le lieu de la mondanité se délocalisant à une carte mondaine, que l'ensemble des noms cités, lieux et personnes, forment le lieu, et ce décollage premier une bulle dans laquelle se loge une assemblée, sans gravité, et navigue de plaisirs en plaisirs. Plaisir ici le nom de la joie spéciale d'être présent dans la lumière, proposition de la tautologie générale qui résonne, de cercle en cercle jusqu'au confins de chaque phrases, dans l'air spécial ainsi habité. Au dedans comme sur un plateau de nulle part, des lumières plus précises se détachent et dansent dans la boucle de chacun, et des bulles parcourent la salle comme des ondes et vont éclater aux quatre coins, reviennent chargées d'un nouveau sens à son tour qui etc. Dans ce bal de fiancées d'air et de regards, répercutant des marginalia de phrases vers leur destin redondant d'illumination de l'ensemble, aucune volonté particulière ne prend son empire, aucune singularité même ne tire son épingle de la pelote formant le jeu en entier, et chacun se livre entier au courant de la bulle, ensemble si l'on veut détaché de sa matérialité, et langage tout entier. Tournent les têtes dans le clair air de chambre qui retentit, et se profilent les ombres portées d'absents, qui passent comme un paysage depuis la vitre que chaque regard figure. Là, le visage est seul, comme détaché du corps, abstrait de la fenêtre qui l'encadre et décore, dans sa singularité de destin voyageur, vaisseau principal de l'être au monde. Au point de l'abstraction saisie par une tête chacun la sienne, la retenue de soi est infinie, tout ouvert sur le possible et un jeu de masques, sur la lumière desquels se reflètent des identités multiples, d'emprunt ou anciennes, qui soudain ne sont plus celles des cartes et de ceux qui les portent, qui assumé se déploie sans entrave. La délocalisation s'achève sur un nulle part qui est dans le temps compté du bal. Nulle part précisément une assemblée de têtes aérées de mondanité s'échange le fil ténu de la tautologie qui les subsume. La somme des masques d'abstraction est le lieu, que nul ne revendique, et l'air autour de se changer en kaléidoscope, jeu de palais des glaces où les sourires sont reflets de tous les autres. Il est inutile en effet par la suite de songer à ce monde faux qu'évoquent les piètres danseurs qui se soucient d'eux-mêmes plus que de la chorégraphie générale, qui ne comprennent pas le sens public qui s'illustre dans les regard ; la vérité d'un jeu de masque est dans les expressions qu'on lui fait prendre, non dans la certitude d'y voir un accessoire. Non plus que jeu futile de superficialité, c'est à chaque reflet que se démultiplient les vérités de ce qu'il évoque, et sans drame, dans le plein consentement de tous. L'artiste comme propergol, les discours, les kirs et buffets, décor de l'apesanteur. Chacun pourra refléter dessus son habit à ces réalités, les tenir pour assurées, les palper comme dans sa poche l'invitation, et les explications d'usage, pour l'honneur de tout ceci, la tenue de concert, sourires et plaire, tout ceci est convenu, l'atmosphère en dépend ; s'étonnent chaque fois d'y être présent, de rencontrer de nouveaux visages, d'engager des conversations, et de s'habituer au fait, sans conteste, que le monde brille dans l'air comme lumineux et insincère, les col empesé et les joues poudrées, les mines dans le concert de variétés. Sur les bottes de sept lieues cette utopie suspendue, le temps d'une danse louée de l'écart des poursuites, dans sur vers et alentour du monde glacé de reflet jaillissant d'ombres, marcher dans le clair air du soir, tendre l'attention vers ce qui vient, sans le rictus de rigueur, la langue armée du rouet bons mots que file une intention pacifiée, le souvenir prévenu des jours passés, d'autres identiques occasions de dire le bien qui vous anime, désarmée aussi la prévention usuelle, à part soi, et se tenir sous les lueurs qui ne prêtent qu'à s'embraser dans la bulle sonore retentissant le temps. Poésie, danse, théâtre, opéra, art et concerts, lieux de l'être par excellence, et les beaux vêtements de présent à facettes, se réunissent des sentiments qui se comptent avant de commencer, et s'attendent les humain impatients de se pacifier encore après les applaudissements. Airs noirs, bustiers et vestes, sourires clairs légèreté éclatée, tout un monde de chair qui oublie sa misère de terre pour se dire la courtoisie du plaisir d'être ici, et maintenant.