Garnements à part par David Christoffel
Si ce n'est jamais qu'un tas de considérations, comme cela s'est déjà vu, il y en aura toujours, si toutefois il y en a, pour prêter d'abord velléitaire, ensuite un peu d'écoute. Comme il fait bon perpétrer maximalisme, quand il ne faudrait pas aller jusqu'à demander à l'attention de l'obéissance, ou quoi qui puisse ressembler. Tôt faite l'assimilation du laxisme à l'illusion de liberté, mais tellement bien avancé qui voudra contester la distraction pour autonomie, depuis que bien des orateurs eux-mêmes auraient mieux fait d'écouter avant. Comme à chaque fois, le despotisme trouvant terreau pas loin, il en va d'enjeux trop graves d'avance. La nuit tombante ne manque pas de porter les oublis grandioses encore même un peu gris, de nos jours y compris.
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Scrupuleusement, la toge n'est pas prétexte. C'est toute une éducation déconfite qui fait bien, quand la génération suivante ne suit rien que l'habit ne faisait, un organe présumé préférable non plus. Il faut un élan certain pour aller jusque là, ils vous le diront, pour bien voir qu'ils n'y peuvent tout à fait. Il en faut quelques-uns pour chanter, sobriété tourmentée pour support, qu'il n'y va rien de soi si ce n'est pour généraliser de coton. Depuis, indexer l'activité demande la sagacité perpétuellement gratifiante, nous sommes arrivés à un stade de la production, il n'est même pas question de trancher sur sa respectabilité, tout état de cause restant si peu envisageable, nous ne saurions prêter quelque force de perturbation au fait de disconvenir à leur légitimité, le fait n'en étant que moins volontaire, irrémédiablement.
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L'attachement requiert si peu d'ascèse, finalement. Vous n'avez plus aucun mal à croire dans la sincérité de leurs excuses et, qui plus est, le nécessairement supposé de leur embarras. Ils voudraient même vous persuader que cela n'arrivera plus, vous impliquer chaleureusement dans leurs résolutions. Vous aurez grand plaisir à prêter foi, même si vous ne manquerez pas, en d'autres temps, de ne pouvoir pas être sûr de les y trouver. Vous êtes capable de prouesses dans la complaisance, si c'est cela qu'ils demandent. Et vous vous sentez lâche de ne pas relater les questions que posent les déconvenues par tant excusées, malgré l'enthousiasme que ne manque jamais de faire miroiter l'enchevêtrement, par forces de curiosités contrapuntiques, de projets qui roucoulent, et toujours si frais, bien faute de creuser des beaux, secs et stimulants futons de débonnaireté.
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Avec la tranquillité à peine consternée du garnement pas bien-pensant, très satisfait pourtant, par étroit besoin de grands vents pour défourailler l'enfarinement indispensable à la rentabilisation de ses éclairs, il parle d'un point de rupture qui ne serait pas advenu, relativement, sans être même la conséquence du fait qu'il est évidemment très attendu, sûrement moins qu'il ne faut le dire et toutefois utile très hypothétiquement. Pour cause, la conviction de son à-propos lui fait chaque fois son sujet bien au-dessus de cela qui devrait badger le paradigme, s'en symphoniser comme il n'est pas permis (personne n'ayant jamais vu phallique jusqu'en-dessous de la chaussure, jamais podophilie même ne pouvant métaphorique jusque là).
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Aux crépuscules parmi les moins plombés, la narration des exploits ne s'entend bien tant que les automatismes en ont pour leur nouveauté. Le goût très sûr, nappé d'une vraie dévotion pour l'interrogatoire, ne devrait étonner, les sirènes ont toujours mené à la mort qui veut les oiseaux trop significatifs. Puisqu'il n'est plus de modalités tout à fait désolantes, s'il faut que mourir soit le fait d'un parcours, il faudra y revenir : si ce n'est pour pèleriner, il serait bon de mâchouiller par tant de détours qu'aiment les amusés. Une vraie tendresse nous pousserait à peu près dans un des plus beaux des pires, le voisinage du plus laid, c'est-à-dire.
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Les films fantastiques font des personnages briqués par leurs projets, prêts à défier les mécanismes les mieux endurcis de la vie sociale, mais ne tarderont pas à être complètement rattrapés par les événements en effet très étonnants. Personne ne doutera que ce sont des héros, au lieu d'expliquer ceci par cela, la suspension n'a pas besoin d'être exemplaire, et les films fantastiques sont vraiment fantastiques, quand ils font des événements archi-sidérants et, donc, des personnages supra-sidérés. Or, pour que des personnages sidérés puissent être carrément supra-sidérés, il ne les faut pas, au départ, trop naïfs : c'est pourquoi ils font des projets jusqu'à s'en briquer. En général, dès le départ, quand ils traversent la rue, ils ne regardent pas les voitures, alors qu'il y en a plein, ils les frôlent sans du tout s'en émouvoir. Un air de liberté magnifique, enviable et si peu tâché pourtant.
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De la façon tout à fait extraordinaire qu'ils ont, pourtant n'iraient-ils surtout pas pousser de la substance indiquée par ce qui ne saurait se faire trop apparent. Si bien que ledit point- limite, sinon orienté pour elle, un regard n'est jamais qu'un point. Après, si l'oreille veut bien faire la jointure, c'est parce qu'elle n'en peut plus : comme il ne lui revient pas de faire théories de l'écoute, si elle consent, c'est qu'il n'en faut pas entendre le peu de hargne qui doit pourtant suffire quand il faut s'en remettre au nul besoin de théories que des fétichismes à écouteurs voudront bien surfaire à l'occasion. Adéquation avec reniement est le versant heureux et perché qui n'est pas du reniement, entendu.
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Rien ne voudra s'imposer à son ravissement, s'il doit débusquer ce qu'il veut beaucoup plus beau quand, certes, la dissimulation qu'il pourra de temps en temps lécher comme il faut que soit le grand fait : puisque le dissimulé se raconte avec des interstices, comme il faut s'en mal saisir pour être sûr que cela même n'en est pas exactement, la joie se fait malaisée, si ravie de n'être pas même besogneuse pour autant, elle ferait confondre son hilarité cachottière de ne pouvoir préciser et son truc tellement insurmontable qu'on pourra toujours lui en vouloir de préciser plus que ça. Il lui faut toujours craqueler surface contre un jeu verbalement injouable, très dénigrant à force, pour qui voudrait parler.
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Scrupuleusement, la toge n'est pas prétexte. C'est toute une éducation déconfite qui fait bien, quand la génération suivante ne suit rien que l'habit ne faisait, un organe présumé préférable non plus. Il faut un élan certain pour aller jusque là, ils vous le diront, pour bien voir qu'ils n'y peuvent tout à fait. Il en faut quelques-uns pour chanter, sobriété tourmentée pour support, qu'il n'y va rien de soi si ce n'est pour généraliser de coton. Depuis, indexer l'activité demande la sagacité perpétuellement gratifiante, nous sommes arrivés à un stade de la production, il n'est même pas question de trancher sur sa respectabilité, tout état de cause restant si peu envisageable, nous ne saurions prêter quelque force de perturbation au fait de disconvenir à leur légitimité, le fait n'en étant que moins volontaire, irrémédiablement.
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L'attachement requiert si peu d'ascèse, finalement. Vous n'avez plus aucun mal à croire dans la sincérité de leurs excuses et, qui plus est, le nécessairement supposé de leur embarras. Ils voudraient même vous persuader que cela n'arrivera plus, vous impliquer chaleureusement dans leurs résolutions. Vous aurez grand plaisir à prêter foi, même si vous ne manquerez pas, en d'autres temps, de ne pouvoir pas être sûr de les y trouver. Vous êtes capable de prouesses dans la complaisance, si c'est cela qu'ils demandent. Et vous vous sentez lâche de ne pas relater les questions que posent les déconvenues par tant excusées, malgré l'enthousiasme que ne manque jamais de faire miroiter l'enchevêtrement, par forces de curiosités contrapuntiques, de projets qui roucoulent, et toujours si frais, bien faute de creuser des beaux, secs et stimulants futons de débonnaireté.
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Avec la tranquillité à peine consternée du garnement pas bien-pensant, très satisfait pourtant, par étroit besoin de grands vents pour défourailler l'enfarinement indispensable à la rentabilisation de ses éclairs, il parle d'un point de rupture qui ne serait pas advenu, relativement, sans être même la conséquence du fait qu'il est évidemment très attendu, sûrement moins qu'il ne faut le dire et toutefois utile très hypothétiquement. Pour cause, la conviction de son à-propos lui fait chaque fois son sujet bien au-dessus de cela qui devrait badger le paradigme, s'en symphoniser comme il n'est pas permis (personne n'ayant jamais vu phallique jusqu'en-dessous de la chaussure, jamais podophilie même ne pouvant métaphorique jusque là).
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Aux crépuscules parmi les moins plombés, la narration des exploits ne s'entend bien tant que les automatismes en ont pour leur nouveauté. Le goût très sûr, nappé d'une vraie dévotion pour l'interrogatoire, ne devrait étonner, les sirènes ont toujours mené à la mort qui veut les oiseaux trop significatifs. Puisqu'il n'est plus de modalités tout à fait désolantes, s'il faut que mourir soit le fait d'un parcours, il faudra y revenir : si ce n'est pour pèleriner, il serait bon de mâchouiller par tant de détours qu'aiment les amusés. Une vraie tendresse nous pousserait à peu près dans un des plus beaux des pires, le voisinage du plus laid, c'est-à-dire.
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Les films fantastiques font des personnages briqués par leurs projets, prêts à défier les mécanismes les mieux endurcis de la vie sociale, mais ne tarderont pas à être complètement rattrapés par les événements en effet très étonnants. Personne ne doutera que ce sont des héros, au lieu d'expliquer ceci par cela, la suspension n'a pas besoin d'être exemplaire, et les films fantastiques sont vraiment fantastiques, quand ils font des événements archi-sidérants et, donc, des personnages supra-sidérés. Or, pour que des personnages sidérés puissent être carrément supra-sidérés, il ne les faut pas, au départ, trop naïfs : c'est pourquoi ils font des projets jusqu'à s'en briquer. En général, dès le départ, quand ils traversent la rue, ils ne regardent pas les voitures, alors qu'il y en a plein, ils les frôlent sans du tout s'en émouvoir. Un air de liberté magnifique, enviable et si peu tâché pourtant.
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De la façon tout à fait extraordinaire qu'ils ont, pourtant n'iraient-ils surtout pas pousser de la substance indiquée par ce qui ne saurait se faire trop apparent. Si bien que ledit point- limite, sinon orienté pour elle, un regard n'est jamais qu'un point. Après, si l'oreille veut bien faire la jointure, c'est parce qu'elle n'en peut plus : comme il ne lui revient pas de faire théories de l'écoute, si elle consent, c'est qu'il n'en faut pas entendre le peu de hargne qui doit pourtant suffire quand il faut s'en remettre au nul besoin de théories que des fétichismes à écouteurs voudront bien surfaire à l'occasion. Adéquation avec reniement est le versant heureux et perché qui n'est pas du reniement, entendu.
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Rien ne voudra s'imposer à son ravissement, s'il doit débusquer ce qu'il veut beaucoup plus beau quand, certes, la dissimulation qu'il pourra de temps en temps lécher comme il faut que soit le grand fait : puisque le dissimulé se raconte avec des interstices, comme il faut s'en mal saisir pour être sûr que cela même n'en est pas exactement, la joie se fait malaisée, si ravie de n'être pas même besogneuse pour autant, elle ferait confondre son hilarité cachottière de ne pouvoir préciser et son truc tellement insurmontable qu'on pourra toujours lui en vouloir de préciser plus que ça. Il lui faut toujours craqueler surface contre un jeu verbalement injouable, très dénigrant à force, pour qui voudrait parler.