24 févr.
2008
L'anthologie du Printemps des Poètes
Dernier vers du premier poème de cette "anthologie" :
Je fais les fêtes avec les fées. Laissez s'envoler lepoète.
C'est signé Marc Alyn.
Dernier vers du dernier et cinquantième poète, Kenneth White :
...
ce manuscrit
composé à l'extrême Occident
caché derrière la mousse et la pierre
ne sera découvert
qu'au moment où celui qui l'a écrit
sera depuis fort longtemps parti
vers le néant.
Dernière phrase de la présentation du maître d'œuvre :
Et désormais vous ne pourrez pas plus vous passer de poésie qu'un myope de lunettes.
Il suffit d'ajouter que Jean-Pierre Siméon a fait mine d'ignorer l'existence de Philippe Beck, pour dire de cet ouvrage qu'il inaugure un nouveau genre, celui du livre qui se pourfend très bien tout seul.
Je fais les fêtes avec les fées. Laissez s'envoler lepoète.
C'est signé Marc Alyn.
Dernier vers du dernier et cinquantième poète, Kenneth White :
...
ce manuscrit
composé à l'extrême Occident
caché derrière la mousse et la pierre
ne sera découvert
qu'au moment où celui qui l'a écrit
sera depuis fort longtemps parti
vers le néant.
Dernière phrase de la présentation du maître d'œuvre :
Et désormais vous ne pourrez pas plus vous passer de poésie qu'un myope de lunettes.
Il suffit d'ajouter que Jean-Pierre Siméon a fait mine d'ignorer l'existence de Philippe Beck, pour dire de cet ouvrage qu'il inaugure un nouveau genre, celui du livre qui se pourfend très bien tout seul.