12 mars
2004
La Fiancée de Makhno de Liliane Giraudon.
Ou bien la carte est trop éloignée du réel et je me trouve plus à l'ouest...(p. 59)
Trop à l'ouest, pourrait-on renchérir sur le narrateur de ce texte dont Giraudon écrit, dans la quatrième, qu'une voix fluette qui scintille l'éclaire : des lueurs? pas pour nous! Un Centre? une abstraction qui fuit et nous fuit! La fiction a moins besoin d'encre que d'ancrage, trop d'auteurs ignorent cette classique prescription. Et ils avancent tout comme rien, charrient la crudité avec l'invention mais par-dessus tout, intransitivement ils charrient! En oubliant le lecteur.
On tâchera d'oublier vite nous aussi ce livre ennuyeux.
Trop à l'ouest, pourrait-on renchérir sur le narrateur de ce texte dont Giraudon écrit, dans la quatrième, qu'une voix fluette qui scintille l'éclaire : des lueurs? pas pour nous! Un Centre? une abstraction qui fuit et nous fuit! La fiction a moins besoin d'encre que d'ancrage, trop d'auteurs ignorent cette classique prescription. Et ils avancent tout comme rien, charrient la crudité avec l'invention mais par-dessus tout, intransitivement ils charrient! En oubliant le lecteur.
On tâchera d'oublier vite nous aussi ce livre ennuyeux.