02 oct.
2007
Lieu-dit l'éternité, poèmes choisis d'Emily Dickinson
The soul should always stand ajar.
L'âme doit toujours être entrebaîllée,
c'est ainsi que Patrick Reumaux traduit ce vers, lui qui présente cette tradition en édition bilingue, bienvenue en poche presque 10 ans après sa parution chez Elizabeth Brunet.
L'âme entrebaîllée et les oreilles grandes ouvertes,
ainsi doit se disposer le lecteur pour accueillir la gentiane et le daim, la mort et l'angoisse, tous les secrets d'Emily Dickinson, toujours amoureuse mais jamais mariée qui, la trentaine passée, ne sortit plus de la maison de juristes puritains dans laquelle elle était née en 1830, en Nouvelle-Angleterre ; elle mourut en 1886, ayant vu seulement 7 de ses poèmes publiés sur les 2000 qu'elle écrivit.
Comme Emily Brönte, elle savait pourtant tout ce qu'on peut savoir de la vie, chair et voyages compris.
L'âme doit toujours être entrebaîllée,
c'est ainsi que Patrick Reumaux traduit ce vers, lui qui présente cette tradition en édition bilingue, bienvenue en poche presque 10 ans après sa parution chez Elizabeth Brunet.
L'âme entrebaîllée et les oreilles grandes ouvertes,
ainsi doit se disposer le lecteur pour accueillir la gentiane et le daim, la mort et l'angoisse, tous les secrets d'Emily Dickinson, toujours amoureuse mais jamais mariée qui, la trentaine passée, ne sortit plus de la maison de juristes puritains dans laquelle elle était née en 1830, en Nouvelle-Angleterre ; elle mourut en 1886, ayant vu seulement 7 de ses poèmes publiés sur les 2000 qu'elle écrivit.
Comme Emily Brönte, elle savait pourtant tout ce qu'on peut savoir de la vie, chair et voyages compris.