08 déc.
2008
naufrage du litanic de Christian Prigent par Stéphane Bérard
Foutre sa vie en l'air
Pourquoi en suis-je là aujourd'hui ?
Parce que Prigent Live 81 à Bordeaux est aussi important que The Clash à Mont-de-Marsan en 77.
Parce qu'il y a toute une histoire de la montée en intensité, du son mais pas seulement.
Parce qu'il y a des écoutes parfois qui chambardent le chambranle. Je n'ai jamais oublié Mozart, ni les Sex Pistols ni Christian Prigent.
3 morceaux qui ont foutu ma vie en l'air.
Le premier vers 6 ans (ouvrant tous les possibles), les deuxièmes à l'adolescence (fermant tous les possibles), et le troisième en 89 (oeuvrant tous les possibles).
Là vous l'avez en 81 !
Avec une de ses diverses voix de Hun
Attirail
Il parle comme on appuie sur la pédale distorse, un peu crunchy.
Mais il y a de la réverbe et ses arrêts rockabilly
et des soli de phrases de mères
cantates protestant à terre
Pourquoi en suis-je là aujourd'hui ?
Parce que Prigent Live 81 à Bordeaux est aussi important que The Clash à Mont-de-Marsan en 77.
Parce qu'il y a toute une histoire de la montée en intensité, du son mais pas seulement.
Parce qu'il y a des écoutes parfois qui chambardent le chambranle. Je n'ai jamais oublié Mozart, ni les Sex Pistols ni Christian Prigent.
3 morceaux qui ont foutu ma vie en l'air.
Le premier vers 6 ans (ouvrant tous les possibles), les deuxièmes à l'adolescence (fermant tous les possibles), et le troisième en 89 (oeuvrant tous les possibles).
Là vous l'avez en 81 !
Avec une de ses diverses voix de Hun
Attirail
Il parle comme on appuie sur la pédale distorse, un peu crunchy.
Mais il y a de la réverbe et ses arrêts rockabilly
et des soli de phrases de mères
cantates protestant à terre