29 mars
2002
Ouste
Cette revue a été assez injustement condamnée par je ne sais plus qui dans le dernier n° du Cahier Critique du cipM. Elle a certes de gros défauts juvéniles (les prestations nonchalantes des anciens?!), MAIS avec des textes d'un bon niveau général et généralement bien orientés (ça gêne et râle), elle permet toujours des découvertes : cette fois-ci, c'est le travail d'Olivier Bosson (quelqu'un peut-il nous en dire plus sur celui-ci? contactez-nous car Hervé Brunaux, principal animateur de "Ouste", semble inapte à toute correspondance de plus de trois lignes!), qui retient notre attention ; ses petits crobards à l'écriture délibérément gauche, 4 pages foudroyantes sur l'art de la guerre mais aussi sur l'art comme mouvement d'occupation, opèrent tel un blitz dans le coeur du lecteur.