07 janv.
2007
Revue Le Quartanier, n°6
On a déjà présenté sur ce site cette excellente revue mais il faut y revenirsi l'on veut bien croire dans la vertu du marteau tellement vantée par Nietzsche.
Non que la revue dirigée par Eric de Larochellière doive bénéficier d'un traitement de faveur de par son éloignement géographique et sa proximité avec la puissance anglophone. Non que les auteurs présentés y soient meilleurs que dans beaucoup d'autres revues qui ont glissé dans la mémoire non vive de ce site, même si l'on a plaisir à retrouver des auteurs comme Gache André, Bablon Ludovic, Toog Gilles, Zorka ou Lequette Samuel (tous repérés ici). Non qu'on y fasse des découvertes extraordinaires. Non que l'on souhaite épauler notre brillant collaborateur Guillaume Fayard, seul autre membre du comité éditorial de cette revue. Non que la maquette ..., non que la couverture ..., non que les interventions monstres de la graphiste Mélanie Baillairgé méritent mention particulière, non non et non :
ce qui fait le mérite IMMENSE de cette revue, c'est qu'elle est une des très rares aujourd'hui à conserver une très conséquemment étoffée partie critique. Cette partie (dans laquelle sont recensées par Guillaume Fayard, les autres revues), s'intitule joliment Quartier, peut-être parce qu'il y a obligation d'atteindre le quart (de veille), peut-être parce qu'on n'y fait pas le jacques ...
Se détache, légitimement en tête, la recension par Xavier Person du dernier livre d'Emmanuelle Pireyre, Comment faire disparaître la terre et un texte d'Alban Lefranc sur Love streams de Cassavetes.
Non que la revue dirigée par Eric de Larochellière doive bénéficier d'un traitement de faveur de par son éloignement géographique et sa proximité avec la puissance anglophone. Non que les auteurs présentés y soient meilleurs que dans beaucoup d'autres revues qui ont glissé dans la mémoire non vive de ce site, même si l'on a plaisir à retrouver des auteurs comme Gache André, Bablon Ludovic, Toog Gilles, Zorka ou Lequette Samuel (tous repérés ici). Non qu'on y fasse des découvertes extraordinaires. Non que l'on souhaite épauler notre brillant collaborateur Guillaume Fayard, seul autre membre du comité éditorial de cette revue. Non que la maquette ..., non que la couverture ..., non que les interventions monstres de la graphiste Mélanie Baillairgé méritent mention particulière, non non et non :
ce qui fait le mérite IMMENSE de cette revue, c'est qu'elle est une des très rares aujourd'hui à conserver une très conséquemment étoffée partie critique. Cette partie (dans laquelle sont recensées par Guillaume Fayard, les autres revues), s'intitule joliment Quartier, peut-être parce qu'il y a obligation d'atteindre le quart (de veille), peut-être parce qu'on n'y fait pas le jacques ...
Se détache, légitimement en tête, la recension par Xavier Person du dernier livre d'Emmanuelle Pireyre, Comment faire disparaître la terre et un texte d'Alban Lefranc sur Love streams de Cassavetes.