27 déc.
2002
Un compost
Voilà un livre (paru en juillet 2002) qui me laisse perplexe : il y a des traces d'expérimentations et d'expérience, de vraie culture et l'auteur est aussi un grand lecteur, pas comme certains qui s'imaginent pouvoir écrire sans avoir rien lu que les classiques à l'école et deux ou trois copains en revues!
…ric Houser cherche, déconcerte et parfois même invente mais ne parvient pas à me saisir, la réciproque étant encore plus vraie.
Je me fais tout de fois un devoir de recenser et signaler ce genre d'ouvrages, sachant que je puis passer à côté de quelque chose d'important. Que d'autres aux goûts moins bornés, sauront reconnaître. Mais attention, je ne dirais pas ça de tout ce qui se publie aujourd'hui, il y a des choses qui se présentent comme de la poésie ou de l'écriture d'avant-garde mais que l'on peut d'emblée écarter avec la certitude que ça ne tiendra pas la distance (Werner Lambersy par exemple pour les anciens et Jean-Michel Espitallier pour les plus jeunes).
J'ajoute que j'aime bien le dessin de couverture de l'auteur ainsi que la chaise, emblème de l'attente pour l'éditeur. Il faut s'attendre à quelque chose de ce côté là.
…ric Houser cherche, déconcerte et parfois même invente mais ne parvient pas à me saisir, la réciproque étant encore plus vraie.
Je me fais tout de fois un devoir de recenser et signaler ce genre d'ouvrages, sachant que je puis passer à côté de quelque chose d'important. Que d'autres aux goûts moins bornés, sauront reconnaître. Mais attention, je ne dirais pas ça de tout ce qui se publie aujourd'hui, il y a des choses qui se présentent comme de la poésie ou de l'écriture d'avant-garde mais que l'on peut d'emblée écarter avec la certitude que ça ne tiendra pas la distance (Werner Lambersy par exemple pour les anciens et Jean-Michel Espitallier pour les plus jeunes).
J'ajoute que j'aime bien le dessin de couverture de l'auteur ainsi que la chaise, emblème de l'attente pour l'éditeur. Il faut s'attendre à quelque chose de ce côté là.