05 janv.
2006
Antoine Gallimard est-il fréquentable ?
Dans le supplément Livres de Libération , édition du jeudi 5/01/2006
une interview disponible sur le web :
http://www.liberation.fr/page.php?Article=349001
du PDG héritier de la dynastie, troisième génération.
Dé-génération devrait-on écrire.
Les propos truffés de métaphores à mots ras et de fatuité pourraient prêter à rire s'ils n'auguraient assez mal de l'avenir des éditions POL et de toute édition exigeante sous pareille tutelle :
J'ai formé un petit ensemble avec Verticales et Joëlle Losfeld : je les installe (SIC !) rue Saint-André-des-Arts, avec POL, dans les locaux occupés autrefois par Balland ...Pour nous ces satellites ont plutôt la fonction qu'avaient autrefois les revues littéraires, qui permettent de "draguer" les auteurs...Après, j'ai ma voiture-balai. Eventuellement, les auteurs peuvent passer dans la collection "blanche"...
Dire que l'on s'est gaussé des rodomontades de De La Martinière.
Dire que l'on présente cet homme comme le parangon de la résistance des véritables maisons d'édition face au monde du commerce ...mais même les marchands de mal font preuve de plus d'élégance dans leurs déclarations !
une interview disponible sur le web :
http://www.liberation.fr/page.php?Article=349001
du PDG héritier de la dynastie, troisième génération.
Dé-génération devrait-on écrire.
Les propos truffés de métaphores à mots ras et de fatuité pourraient prêter à rire s'ils n'auguraient assez mal de l'avenir des éditions POL et de toute édition exigeante sous pareille tutelle :
J'ai formé un petit ensemble avec Verticales et Joëlle Losfeld : je les installe (SIC !) rue Saint-André-des-Arts, avec POL, dans les locaux occupés autrefois par Balland ...Pour nous ces satellites ont plutôt la fonction qu'avaient autrefois les revues littéraires, qui permettent de "draguer" les auteurs...Après, j'ai ma voiture-balai. Eventuellement, les auteurs peuvent passer dans la collection "blanche"...
Dire que l'on s'est gaussé des rodomontades de De La Martinière.
Dire que l'on présente cet homme comme le parangon de la résistance des véritables maisons d'édition face au monde du commerce ...mais même les marchands de mal font preuve de plus d'élégance dans leurs déclarations !