28 mars
2004
Léo Scheer, tout le Monde décent.
Nous avions jusqu'ici considéré Léo Scheer comme le mécène de la Fédération qui regroupait autour de ses propres éditions quelques petits éditeurs de talents ( Al Dante,Via Valeriano, Farrago, la revue Lignes, les collections Manifestes, Lignes et les …ditions Mistral) ; c'était une chance pour ces petites maisons d'acquérir une plus grande visibilité mais il semble que ce riche personnage manifeste de plus en plus d'intentions prédatrices, cherchant à réduire le rôle de ses collègues fédérés à celui de simples directeurs de collection. Prise de conscience douloureuse. Alors qu'il commence à pouvoir tirer bénéfice de l'intérêt médiatique que suscitent les livres de Raymond Federman, Laurent Cauwet s'échappe de la "galaxie" très chère en nous offrant ce communiqué rédigé sans ambages :
Suite à d'importants problèmes de compatibilités - humaines, éthiques,politiques et techniques -, les éditions Léo Scheer, par la voix de leurdirigeant monsieur Léo Scheer, nous ont signifié leur désir de ne plustravailler avec les éditions Al Dante.
Ce que nous avons entendu et, avec un certain soulagement, accepté.
Ajoutons que La Revue Littéraire des éditions Léo Scheer, dont le premier numéro sort en avril, est d'une ringardise presque totale, (au sommaire, figure même une traduction de l'académicien Michel Déon!) et mérite bien le procès que va lui faire Gallimard pour avoir pompé le look Nrf : Léo croit certainement que cela va lui faire de la pub mais quand à nous, nous décidons d'ores et déjà de ne plus donner le moindre écho aux initiatives de ce médiatique bonhomme.
Suite à d'importants problèmes de compatibilités - humaines, éthiques,politiques et techniques -, les éditions Léo Scheer, par la voix de leurdirigeant monsieur Léo Scheer, nous ont signifié leur désir de ne plustravailler avec les éditions Al Dante.
Ce que nous avons entendu et, avec un certain soulagement, accepté.
Ajoutons que La Revue Littéraire des éditions Léo Scheer, dont le premier numéro sort en avril, est d'une ringardise presque totale, (au sommaire, figure même une traduction de l'académicien Michel Déon!) et mérite bien le procès que va lui faire Gallimard pour avoir pompé le look Nrf : Léo croit certainement que cela va lui faire de la pub mais quand à nous, nous décidons d'ores et déjà de ne plus donner le moindre écho aux initiatives de ce médiatique bonhomme.