23 nov.
2011
deux jeunes artistes au chômage de Cyrille Martinez par Lambert Castellani
L'ouvrage de Cyrille Martinez traite du statut de l'art contemporain dans nos sociétés qui le sont aussi. Mais si le commentaire en quatrième de couverture annonce « une épopée comique où s'entend, en sourdine, une inquiétude sur le devenir de l'art et de la littérature », c'est davantage l'épopée comique qu'il faudra retenir. Le reste n'est que ce que vous voudrez.
Du comique, donc, celui qui déclenche le rire, le vrai (derrière son bouquin, un lecteur qui rit fort, parole ! C'est une belle récompense, M. Martinez, non ?), avec ficelles dont le diamètre importe peu, une écriture déconnante détonante, et un livre qu'on ne repose pas. D'une traite.
Bon, il y a surement une morale à tirer de l'histoire, et peut-être même une pensée philosophique, mais tout ça je vous le laisse, moi j'ai loupé trois fois l'agreg.
En tout cas j'ai beaucoup ri, alors je l'ai lu deux fois, deux jeunes artistes au chômage (soit quatre jeunes artistes au chômage, bientôt une bande, vérifiez vos cages d'escaliers).
Je l'ai lu deux fois, coup sur coup. Sans sourciller.
Comme ça, parce que j'avais envie, moi qui n'aime pas lire, c'est dire s'il est bon !
Enfin, comme ça et aussi parce que Pierre Le Pillouër n'a pas voulu de ma première critique.
Bref.
J'ai donc relu deux jeunes artistes au chômage, scrogneugneutant un peu (Moi ? Refusé ?! Allons, Pierre, vous n'êtes pas sérieux !), et figurez-vous, j'ai reri ! Aux mêmes passages, j'ai reri ! Comme devant un gag vu 1000 fois (les chevaliers du Ni quand ils font Eki-Eki-Eki-Pa Tannnnng, ou mieux : n'importe quel épisode de The IT crowd) : de plus en plus fort, avec de plus en plus de plaisir.
Et ça, c'est plutôt une belle récompense, M. Martinez, non ?
Ah non, vraiment, bien. Très bien. Vraiment très bien.
En terminant (la deuxième fois, suivez donc un peu) le livre, une chose curieuse (pour moi et la poésie : une première) : Je me suis dit quelque chose comme...
Vivement le film !
Du comique, donc, celui qui déclenche le rire, le vrai (derrière son bouquin, un lecteur qui rit fort, parole ! C'est une belle récompense, M. Martinez, non ?), avec ficelles dont le diamètre importe peu, une écriture déconnante détonante, et un livre qu'on ne repose pas. D'une traite.
Bon, il y a surement une morale à tirer de l'histoire, et peut-être même une pensée philosophique, mais tout ça je vous le laisse, moi j'ai loupé trois fois l'agreg.
En tout cas j'ai beaucoup ri, alors je l'ai lu deux fois, deux jeunes artistes au chômage (soit quatre jeunes artistes au chômage, bientôt une bande, vérifiez vos cages d'escaliers).
Je l'ai lu deux fois, coup sur coup. Sans sourciller.
Comme ça, parce que j'avais envie, moi qui n'aime pas lire, c'est dire s'il est bon !
Enfin, comme ça et aussi parce que Pierre Le Pillouër n'a pas voulu de ma première critique.
Bref.
J'ai donc relu deux jeunes artistes au chômage, scrogneugneutant un peu (Moi ? Refusé ?! Allons, Pierre, vous n'êtes pas sérieux !), et figurez-vous, j'ai reri ! Aux mêmes passages, j'ai reri ! Comme devant un gag vu 1000 fois (les chevaliers du Ni quand ils font Eki-Eki-Eki-Pa Tannnnng, ou mieux : n'importe quel épisode de The IT crowd) : de plus en plus fort, avec de plus en plus de plaisir.
Et ça, c'est plutôt une belle récompense, M. Martinez, non ?
Ah non, vraiment, bien. Très bien. Vraiment très bien.
En terminant (la deuxième fois, suivez donc un peu) le livre, une chose curieuse (pour moi et la poésie : une première) : Je me suis dit quelque chose comme...
Vivement le film !