04 nov.
2010
Ouste n°18 par Lambert Castellani
- J'ai lu Ouste, création et exagération numéro 18 conspiration 2010, et :
- J'ai bien rigolé aux pages 15, 16, 27, 28, 29, 30, 44, 45, 54, 62, 63, 74, 81, 82, 97 et 100 sur 100 pages soit un taux de 16% de pure rigolade.
- J'ai été subtilement touché d'étrangeté et d'absurdité poétique aux pages 12, 17 (elle est bien celle là), 21, 22, 23, 40, 41, 42, 56, 57, 58, 59, 72 et 73, 76, 77, 78, 84, 85, 86, 87, 93, 97 (23% de petit air frais et mystérieux).
- Je ne peux absolument rien dire des pages 6, 11, 18, 24, 25, 31, 43, 48, 55, 65, 66, 67, 80, 83, 89, 92, 95 et 96, soit 18% d'incompréhension dans lesquels je reconnais ma part de responsabilité à hauteur de 14% (médiocrité de ma sensibilité visuelle proche du handicap, collages, illustrations, dessins) ; + 4% d'indifférence embarrassée.
- J'ai ressenti une excitation sexuelle à la vue de la couverture puis aux pages 33, 34, 35, 36 et 37 et 69 (7%).
- J'ai été agacé, voire épouvanté aux pages 13, 19, 20, 46, 47, 60, 64, 68, 75, 79, 88, 94 (12% qui sont tout à fait dispensables).
- J'ai frissonné aux pages 14, 26 (très bien la page 26), et 61 (3% d'agréable vacillement).
- Je refuse déontologiquement de juger la page 32 (1% de Pillouër).
- J'ai vu le poète donner de sa personne aux pages 38 et 39 (2% de matière perdue).
- Je n'ai pas pu lire jusqu'au bout les pages 49, 50, 51, 52, 53, 70 et 71, 90, 91 (soit 9% de zapping avec une marge d'erreur de 6% éventuellement due à un assoupissement passager).
- J'ai découvert l'existence de l'imprimerie Jouve (Mayenne) à la page 98 / je n'ai rien appris à la page 99 / j'ai vu la promotion du festival Expoésie de Périgueux du 22 au 27 juin 2010 sur la quatrième de couverture (3% d'informations inutiles).
- Ouste s'assure donc cette année encore - avec plus de 50% des pages appréciées et seulement 25% d'agacement - le statut indétrônable (c'est sérieux, peuple, les chiffres !) de revue diverstissante de qualité.
Merci bonsoir.
- J'ai bien rigolé aux pages 15, 16, 27, 28, 29, 30, 44, 45, 54, 62, 63, 74, 81, 82, 97 et 100 sur 100 pages soit un taux de 16% de pure rigolade.
- J'ai été subtilement touché d'étrangeté et d'absurdité poétique aux pages 12, 17 (elle est bien celle là), 21, 22, 23, 40, 41, 42, 56, 57, 58, 59, 72 et 73, 76, 77, 78, 84, 85, 86, 87, 93, 97 (23% de petit air frais et mystérieux).
- Je ne peux absolument rien dire des pages 6, 11, 18, 24, 25, 31, 43, 48, 55, 65, 66, 67, 80, 83, 89, 92, 95 et 96, soit 18% d'incompréhension dans lesquels je reconnais ma part de responsabilité à hauteur de 14% (médiocrité de ma sensibilité visuelle proche du handicap, collages, illustrations, dessins) ; + 4% d'indifférence embarrassée.
- J'ai ressenti une excitation sexuelle à la vue de la couverture puis aux pages 33, 34, 35, 36 et 37 et 69 (7%).
- J'ai été agacé, voire épouvanté aux pages 13, 19, 20, 46, 47, 60, 64, 68, 75, 79, 88, 94 (12% qui sont tout à fait dispensables).
- J'ai frissonné aux pages 14, 26 (très bien la page 26), et 61 (3% d'agréable vacillement).
- Je refuse déontologiquement de juger la page 32 (1% de Pillouër).
- J'ai vu le poète donner de sa personne aux pages 38 et 39 (2% de matière perdue).
- Je n'ai pas pu lire jusqu'au bout les pages 49, 50, 51, 52, 53, 70 et 71, 90, 91 (soit 9% de zapping avec une marge d'erreur de 6% éventuellement due à un assoupissement passager).
- J'ai découvert l'existence de l'imprimerie Jouve (Mayenne) à la page 98 / je n'ai rien appris à la page 99 / j'ai vu la promotion du festival Expoésie de Périgueux du 22 au 27 juin 2010 sur la quatrième de couverture (3% d'informations inutiles).
- Ouste s'assure donc cette année encore - avec plus de 50% des pages appréciées et seulement 25% d'agacement - le statut indétrônable (c'est sérieux, peuple, les chiffres !) de revue diverstissante de qualité.
Merci bonsoir.